Les tentatives de bannissement des projets de taxes sur Internet ont pris fin abruptement vendredi dernier au Sénat américain. Les Etats et leurs gouverneurs ont soudain pris conscience du manque à gagner qui risque d’accompagner la migration de nombreux services sur Internet.
La téléphonie sur IP, la musique et le cinéma en ligne, autant de sources de revenus taxés qui pourraient alimenter les caisses des Etats au fur et à mesure de leur portage sur le Net. Rien que sur les télécoms, le manque à gagner se chiffrerait à 20 milliards de dollars par an. Autre source de revenus, les taxes sur l’ADSL rapportent annuellement 40 milliards de dollars aux Etats qui les appliquent. Malgré l’influence des médias et la puissance du lobby des partisans de l’abandon des taxes sur Internet, les politiques américains ne sont pas prêts à renoncer à une manne qui alimente leurs administrations. Bref, quand les politiques redécouvrent les lois du marché, à leur profit ou à celui des Etats qu’ils dirigent… Le rêve Internet s’évanouit-il?
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