IBM vient de dévoiler sa stratégie concernant le monde des supercalculateurs. Avec son Blue Gene/Q, la firme espère pouvoir fournir des machines d’une puissance maximale de 100 pétaflops.
Au cœur de ce dispositif se trouve le processeur 64 bits PowerPC A2, qui comprend un cœur de contrôle fonctionnant sous Linux, seize cœurs de calcul et un cœur de réserve (lequel permettra de limiter le taux de déchet lors de la fabrication de cette puce). Soit 18 coeurs au total.
Le tout fonctionne à la fréquence de 1,6 GHz, dispose de 32 Mo de mémoire cache de second niveau, pourra gérer 16 Go de DDR3 et intègre une interface réseau à 10 Gbps. Gravé en 45 nanomètre (nm), le PowerPC A2 du Blue Gene/Q consomme 55 W et est crédité d’une puissance de calcul de 204,8 gigaflops (en double précision).
La technologie mise au point par IBM trouvera une première application dans le « Sequoia », une machine de 20 pétaflops qui sera installée au sein du Lawrence Livermore National Laboratory (LLNL). Elle sera composée de 96 racks, pour une puissance consommée de 6,6 mégawatts. Sa capacité de calcul sera ainsi deux fois supérieure à celle de l’actuel numéro un du top500, tout en consommant deux fois moins d’énergie.
L’Argonne National Laboratory (ANL) disposera également d’un Blue Gene/Q. Le « Mira » n’affichera toutefois qu’une puissance de calcul de 10 pétaflops.
L'Autorité de la concurrence et des marchés (CMA) a lancé la phase de recherche de…
Broadcom remplace pas moins de 168 logiciels VMware par deux grandes licences de location correspondant…
La banque d’investissement de BNP Paribas utilise l'IA pour proposer des stratégies d’investissement individualisées, en…
OVHCloud partage ses efforts environnementaux au sommet de l’Open Compute Project qui se tient à…
Avec Phi-3-mini, Microsoft lance un SLM conçu pour attirer une clientèle disposant de ressources financières…
La Commission européenne serait sur le point d'approuver la proposition d'Apple visant à fournir à…