En France, Numeum prévoit que les revenus du segment logiciel en tant que service progressent de 20% cette année 2022. Un taux supérieur de près de 14 points à la croissance du chiffre d’affaires de l’ensemble du marché français des logiciels et des services IT.
A l’échelle mondiale, le cabinet IDC anticipe que le seul segment des applications d’entreprise en mode cloud (public) augmente en moyenne de 13,6% d’ici 2025.
Voici trois raisons qui expliquent ce succès au sein des organisations :
D’ici 2024, selon Rick Villars, VP Worldwide Research d’IDC, les entreprises « axées sur le numérique » orienteront « 70% de l’ensemble de leurs investissements technologiques vers des modèles as-a-service et centrés sur les résultats ». Une aubaine pour des poids lourds du logiciel et du cloud d’entreprise, parmi lesquels Microsoft, SAP, Salesforce et Oracle.
Cette appétence pour le SaaS entraînerait elle-même davantage d’entreprises à adopter une architecture et des applications composables. L’idée est d’étendre le bon modèle d’API (interface de programmation d’applications) à davantage de systèmes et de processus utilisés par les entreprises et leur écosystème.
L’avènement du travail hybride et la croissance de l’adoption du modèle en tant que service déplacent l’attention de l’alignement entre informatique et business, à l’implication accrue du top management et des responsables RH dans les stratégies numériques.
La demande de spécialistes est élevée. Selon la firme de recrutement Robert Half, analyste sécurité et ingénieur cloud sont les profils les plus recherchés par les DSI en France.
(crédit photo © Shutterstock)
Un temps pressenti pour constituer le socle d'une suite bureautique AWS, Amazon WorkDocs arrivera en…
Eviden regroupe cinq familles de serveurs sous la marque BullSequana AI. Et affiche le supercalculateur…
Le dernier Magic Quadrant du SSE (Secure Service Edge) dénote des tarifications et des modèles…
Formats de paramètres, méthodes d'apprentissage, mutualisation GPU... Voici quelques-unes des recommandations de l'ANSSI sur l'IA…
À la grogne des partenaires VMware, Broadcom répond par diverses concessions.
iPadOS a une position suffisamment influente pour être soumis au DMA, estime la Commission européenne.