Suite de l’affaire Petya. L’OTAN pourrait considérer la cyberattaque comme un acte de guerre. De plus, le malware comporte des fichiers issus des recherches d'un Français.
Suite de l’affaire Petya. L’OTAN pourrait considérer la cyberattaque comme un acte de guerre. De plus, le malware comporte des fichiers issus des recherches d'un Français.