Stockage : le logiciel succède aux matériels

Les technologies logicielles permettent de dépasser les limites techniques des baies de stockage. Tout en contrôlant les coûts et en découplant le cycle de vie des données de celui du support. (Article sponsorisé par Fujitsu)

Article sponsorisé par Fujitsu

Les technologies de stockage vivent une révolution. Dans les environnements les plus exigeants, le logiciel tend à supplanter le matériel. Cette évolution concerne au premier chef les espaces de stockage de plus de 500 To des environnements BtoC comme ceux des opérateurs telco, de la banque/assurance et des médias qui mettent à disposition des centaines d’applications pour des milliers d’utilisateurs.

Dans ces contextes, les technologies au cœur des baies de stockage atteignent leurs limites. Elles sont incapables d’apporter la souplesse de gestion nécessaire aux lourdes opérations de gestion qui font désormais le quotidien des administrateurs (croissance, décommissionnement…). Elles peinent aussi à répondre aux exigences des environnements Cloud, de la gestion de la mobilité et des traitements Big Data.

Matériel banalisé, coût maîtrisé

Fujitsu s’est engagé fortement dans le SDS (Software-defined storage), ensemble de technologies qui mettent le logiciel au cœur des infrastructures de stockage. Membre actif d’OpenStack et du projet OpenDayLight (Software-defined Network sous l’égide la Linux Foundation), Fujitsu investit aussi autour de Ceph. Interfacée avec les API de Swift, le module de stockage d’OpenStack, et celles d’Amazon S3, cette plateforme de stockage entièrement distribuée est extensible jusqu’à l’Exaoctet de façon linéaire. Conçue pour n’avoir aucun point unique de défaillance, elle intègre des mécanismes de parallélisation et de réplication qui la rendent totalement tolérante aux pannes. 100% logiciel, Ceph exploite du matériel banalisé ce qui a impact direct sur le coût de stockage à l’octet, que ce soit en mode bloc, fichier ou objet.

Spécialiste de la gestion des grosses volumétries, Fujitsu a fait le choix de Ceph pour apporter son expertise à la simplification des problématiques de stockage. Une simplification qui repose sur l’idée d’un découplage du cycle de vie des données de leurs supports physiques et qui se traduit concrètement par la linéarité de l’augmentation de la volumétrie, une haute fiabilité de l’accès aux données et la redondance des nœuds. Le tout avec un management opérationnel centralisé.

La modernisation des infrastructures de stockage sera développée lors d’une session animée par eNovance lors du Fujitsu World Tour, qui se déroule le 25 septembre à Paris.

Crédit photo : Bedrin / Shutterstock