Les stock-options ne font plus recette, même en Californie…

Fortement critiquées pour leur distribution de stock-options, qui ont marquées la fin du siècle dernier, les entreprises américaines revoient leur politique d’intéressement

Intel et Dell en tête, les entreprises technologiques américaines revoient à la baisse leur politique de distribution de stock-options. Elles sont encouragées par les autorités de régulation, qui leur recommandent de déduire de leurs bénéfices le coût de ces produits financiers. Une démarche qui est loin de satisfaire les inéressés -actionnaires.

Moins de stock-options, mais plus de primes d’intéressement en numéraire! Et ajoutez-y des programmes d’actionnariat salarié. L’époque où les stock-options permettaient d’attirer des salariés à fort potentiel est révolue. La bulle financière d’Internet et des mobiles a implosé, et la chute de la capitalisation boursière des entreprises n’a pas permis d’atteindre l’Eldorado initialement annoncé.