Low code : le joker des équipes IT et développement

8 développeurs et décideurs informatiques sur 10 jugent le low code utile pour libérer du temps et automatiser les tâches de développement répétitives.

Un environnement intégré de développement d’applications (low code) peut réduire la pression ressentie par les départements IT de grandes entreprises. C’est ce qui ressort d’une enquête* menée auprès de managers et développeurs par IDG pour Appian.

86% estiment que la pression s’accentue sur les équipes appelées à deployer et maintenir des technologies de rupture, de l’intelligence artificielle (IA) à l’automatisation des processus par la robotique (RPA), au sein d’environnements IT hérités (Legacy).

Comment réduire la pression, sans sacrifier l’innovation ?

Approche déclarative

Une plateforme logicielle low code fournit une interface graphique et s’appuie sur une approche déclarative plutôt que sur la programmation informatique classique.

79% jugent qu’un tel environnement intégré de développement peut réduire cette pression en leur permettant de libérer du temps pour des projets à plus haute valeur.

Le low code est surtout considéré utile pour automatiser des tâches de développement répétitives comme les règles métier appliquées aux formulaires (80% de répondants).

Près de sept professionnels IT interrogés sur dix estiment même que le low code est pertinent pour le développement d’applications critiques.

En revanche, selon une autre étude (Forrester pour Appian), 31% des entreprises pro-low code ne l’utilisent pas pour créer et livrer des applications prioritaires pour le business.

*L’enquête (« LowCode and IT Satisfaction Survey Report ») a été menée par IDG du 27 mars au 8 avril 2019 auprès de 300 responsables informatiques, développeurs, ingénieurs et achitectes IT d’entreprises de plus de 1000 salariés.

(crédit photo : via Pexels)