Projipe ou comment homologuer les développements …

Avec la multiplication des développements ‘off-shore’, l’homologation et la validation des applications nouvelles s’impose. C’est la mission du groupe Projipe

Au moment où les entreprises de services délocalisées et les pays émergents se concentrent sur la conception du code grâce à l’

outsourcing off shore, il est devenu important de pouvoir valider leurs développements. Cette démarche est appelée professional and global testing (PGT). Elle tend à s’imposer dans le cycle de vie des services informatiques (SI) avec toute la chaîne des applications à déployer. Les différentes phases et processus de tests sont un enjeu important dans le déploiement d’un SI complet, ou d’une de ses parties, pour sa mise en production. Il doit pouvoir s’assurer que l’application au sens large, dont il a la charge de déploiement, est correctement éprouvée et fiable dans tous les sens du terme. De plus, les applications déployées actuellement proposent des services de plus en plus évolués avec une capacité d’adaptation de plus en plus grande pour les utilisateurs. Elles sont le résultat d’intégrations de composants complexes : progiciels, développements in situ ou extérieurs, voire en off-shore, paramétrage, reprise de données. « Le marché de recettes fonctionnelles en France devrait évoluer significativement ces deux prochaines années, avec une part de sous-traitance qui devrait presque doubler d’ici à 2007« , estime Jean-Philippe Hubac, l’un des dirigeants du groupe Projipe. Ce dernier propose des solutions de PGT clés en main : – tests : unitaires, fonctionnels, intégration, validation, recette ; – qualifications : qualimétrie des applications, développement, intégration, homologation, validation système et utilisateur ; – tierces Recettes : applicative, système, utilisateur ; – coaching technique et méthodologique sur ces phases, accompagnement métier et technique, automatisation. Le processus devient mesurable, quantifiable et donc contrôlable. Le temps requis pour tester est très optimisé, réduit au minimum, surtout lors d’une nouvelle phase de tests suite à la mise à jour de chaque développement. « La mise en place de l’automatisation de la phase d’homologation a ramené par exemple la charge de validation d’un développement « middleware » bancaire de 45 à 3 jours« , explique Jean-Philippe Hubac.