Quest Software accompagne la mutation des postes de travail

À l’appui de sa solution WorkSpace Management, Quest Software adresse trois problématiques que l’empirique a entérinées au sein des entreprises : fragmentation, virtualisation et sécurisation.

À mesure que les terminaux mobiles et les technologies cloud s’imposent comme de nouveaux centres d’interaction numérique aux dépens du PC conventionnel, il ne s’agit plus d’anticiper, mais bien d’appréhender la transfiguration des parcs informatiques qui s’orchestre en entreprise.

À la baguette, fragmentation, virtualisation et sécurisation, trois concepts pour autant de problématiques que Quest Software prétend adresser à l’appui de diverses composantes logicielles réunies pour l’occasion sous l’égide d’une solution unifiée, la dénommée WorkSpace Management. S’il devait être une réorientation stratégique sous-jacente, elle consisterait à privilégier une approche centrée utilisateur, celle-ci même que démocratise à tous les échelons le cloud de services, au prix d’une disparité croissante des postes de travail.

La commodité du nuage et du nomadisme a beau augurer de monts et merveilles, les DSI s’en arrachent pour l’heure les cheveux et la gestion hasardeuse qui s’ensuit n’est pas pour contrecarrer des coûts croissants d’administration et de maintenance : en moyenne, une entreprise consacre quelque 200 euros par an à chacun de ses postes de travail. Désormais fortes d’une percée nonpareille en milieu professionnel, les tablettes tactiles, nouvelles venues en qualité de premiers fruits de la consumérisation des plates-formes mobiles, complexifient l’équation. Elles catalysent une kyrielle d’enjeux sécuritaires, alors que le salarié lambda n’hésite plus à utiliser son propre matériel (Bring Your Own Device) pour son travail quotidien.

Quest Software, un héraut des temps modernes ?

Au regard d’un tel déséquilibre qui laisse nombre d’entreprises dans l’expectative, Quest Software s’affiche sans concession et accouche de cet outil WorkSpace Management auquel il confère une compatibilité étendue aux systèmes Windows et Mac OS X, ainsi qu’aux terminaux mobiles Apple. Pas d’Android a priori, tout du moins en natif.

À la gestion des bureaux VDI et des applications via Desktop Virtualization (intégré à Microsoft Hyper-V Server) s’adjoint une prise en charge des contrôleurs USB au sein des machines virtuelles. Application Readiness remplit cet office, dans une optique d’uniformisation des déploiements logiciels avec support de la migration vers Windows 7 et définition de seuils de tolérance vis-à-vis des changements de configuration de chaque poste de travail, notamment les mises à jour système.

La composante User Environment Management fait office de rempart sécuritaire, avec une console d’administration centralisée habilitée à gérer des terminaux Apple depuis la console SSCM de Windows Server. Le déploiement uniformisé des correctifs gagne en universalité et en pertinence, au même titre que l’analyse antivirus en temps réel (Privilege Authority 2.7) et le stockage des paramètres utilisateur dans le cloud (Quest One Identity) pour une expérience homogène indépendamment du poste de travail sollicité.

L’outil VDI Assessment aura au préalable déterminé les caractéristiques du réseau et mis en place un environnement d’exécution adéquat pour les machines virtuelles.

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