Fujitsu (suite): serveur Primergy TX100 S2, auto-réparateur, et sauvegarde Celvin NAS

Avec sa nouvelle stratégie « Make IT dynamic » vers les entreprises moyennes, Fujitsu a présenté le serveur Primergy TX100 S2, avec fonction ‘self-healing’ (auto-réparateur) et une unité de stockage NAS, Celvin Server 800

La robustesse mais également la capacité à se rétablir tout seul après un incident: Fujitsu met l’accent sur des critères particulièrement attractifs pour les PME, avec le serveur Primergy TX100 S2.
Venant s’inscrire dans la nouvelle stratégie ‘Make IT dynamic’) (cf article : Fujitsu pousse le ‘thin client jusqu’au « Zero client‘), ce serveur est « immédiatement opérationnel » lors de son acquisition: « Il suffit d’appuyer sur ‘on’ et il se met en route, lance une procédure d' »auto-découverte« . Il sait également s’auto-réparer (‘self healing’). Des LED flashent lorsqu’il détecte des anomalies.
Parmi les astuces utilisées, le système copie les valeurs ou critères de configuration dans une mémoire PROM, à laquelle il se réfère en cas d’incidents.

Sur de nombreux cas, il sait se réparer lui-même. Et lorsqu’il demande une intervention, celle-ci est très aisée et peut s’opérer à à distance. Par exemple, si le poste client ne ‘boote’ pas, il suffit d’insérer, sur le serveur, le DVD de ‘Maintenance & Recovery Manager‘, ainsi que la clé USB qui contient tout le profil du poste client concerné. En quelques dizaines de secondes, le système détecte, confirme qu’il se met en redémarrage, avec affichage d’une double fenêtre confirmant bien qu’il y a flux des informations. Il peut généralement s’agir de la re-création d’un disque RAID, par exemple.
Ce serveur se veut particulièrement économe en énergie. Ainsi, lorsque qu’il est inactif, sa consommation d’électricité tombe à 0 watt.

Un serveur de stockage NAS,
le Celvin NAS Server 800

Fujitsu présente également une unité de stockage NAS d’origine Qnap, le Celvin NAS Server 800.
Il permet une duplication virtuelle. Il présente 2 ports LAN, ce qui permet, entre autres options, l’équilibrage de charge (load balancing) ou la création de sous-réseaux (subnets).
Son débit est de 1,13 Mbits/s, ce qui permettrait de sauvegarder jusqu’à 1 tera-octet en deux heures.
Pour les entreprises, il serait particulièrement bien adapté, par exemple, à la sauvegarde des données des ‘smartphones’. Il peut se programmer pour lancer des sauvegardes automatiquement, de façon régulière.  Il sera disponible mi-novembre, pour un prix d’environ 1.200 euros.