Moins loin que le contrat du siècle de DCNS avec l’Australie, voici les télégrammes du soir.

Moins loin que le contrat du siècle de DCNS avec l’Australie, voici les télégrammes du soir.
Maintenant que la réforme constitutionnelle est adoptée à l’Assemblée, les députés vont pouvoir lire les télégrammes du soir.
Pas de dérapages verbaux en attendant un week-end pluvieux, voici venu le temps de lire les télégrammes du soir.
À la demande de Google, Microsoft, Yahoo, Facebook et LinkedIn, l’administration Obama autorise les entreprises à informer davantage leurs utilisateurs à propos des requêtes de sécurité nationale émanant des agences de renseignement.
Annoncée vendredi par Barack Obama, la réforme de la NSA ne change pas réellement la donne pour les grands fournisseurs américains, qui, depuis la révélation du programme Prism en juin 2013, doivent faire face à la défiance grandissante de leurs clients à l’international. Les Etats-Unis font passer leur sécurité avant leurs intérêts commerciaux.
Une enquête sur le programme de surveillance américain PRISM a été ouverte en France suite à la plainte déposée par deux organisations des droits de l’homme, la FIDH et la LDH.
Le groupe des CNIL européennes veut évaluer l’impact du programme de surveillance américain PRISM et obtenir de Bruxelles des clarifications.
L’administration Obama choisit l’un des siens, le directeur du renseignement James Clapper, pour évaluer les programmes américains de surveillance.
De Google à Facebook, les entreprises de la Silicon Valley réagissent au programme de surveillance de données personnelles de l’Agence de sécurité nationale américaine (NSA).
Le département américain de la Défense et la NSA disposent d’équipes opérationnelles de cyberwarriors.
L’équipementier chinois Huawei a bien du mal à pénétrer le marché américain. Après plusieurs tentatives, l’entreprise tente cette fois de s’inviter par Sprint Nextel.