Aux États-Unis, un groupe pharmaceutique victime de NotPetya l'a emporté en première instance face à plusieurs de ses (ré)assureurs. Retour sur l'affaire.

Aux États-Unis, un groupe pharmaceutique victime de NotPetya l'a emporté en première instance face à plusieurs de ses (ré)assureurs. Retour sur l'affaire.
Nouveau pic d'activité pour Emotet. Cinq ans après sa découverte, il est devenu une plate-forme de diffusion de spam et de malware.
Silicon Cybersecurity Awards 2018 – Lauréat de la catégorie Utilisation de l'IA dans une solution de sécurité, Advens propose un SOC as a Service. 3 questions à David Duhan, son CEO.
Près de 40 % des responsables de la sécurité informatique s'appuient fortement sur l'automatisation et l'apprentissage automatique pour prévenir les menaces, selon Cisco.
Les attaques par malwares et les menaces persistantes avancées ciblant la chaîne logistique marqueront l'année 2018 et au-delà, prévoit l'éditeur de logiciels Kaspersky.
Cisco Talos a découvert que le ransomware Bad Rabbit intégrait une version modifiée d'EternelBlue, l'outil de hacking de la NSA dérobé par les Shadows Brokers.
Un nouveau ransomware, inspiré de Petya, se propage rapidement en Russie en se faisant passer pour le player Flash d'Adobe.
Aux 17e Assises de la sécurité de Monaco, Guillaume Poupard, Directeur de l'ANSSI, a salué la prise de conscience globale autour de la cybersécurité. Tout en soulignant les efforts qui restent à faire.
Pour une majorité d'entreprises françaises, le renforcement de la cybersécurité passe par l'éducation des utilisateurs, la protection des pertes de données et les analyses temps réel.
Le groupe Maersk a évalué le coût de la cyberattaque NotPetya entre 200 et 300 millions de dollars, impactant les résultats financiers du 3ème trimestre.
Alors que Darmanin se félicite des futurs impôts payés par Neymar et que Macron dévisse dans les sondages, il est temps de lire les télégrammes du soir.
Un an après leur apparition, les Shadow Brokers restent un mystère. Mais le groupe de hackers, qui distillent certains des secrets les mieux gardés de la NSA, recèle un pouvoir de déstabilisation majeur. Comme l’ont montré les crises W ...
Porté par les ventes de ses traitements contre le cancer, Merck parvient à absorber les conséquences de NotPetya. Même si le faux ransomware continue à freiner sa production.
Le passage de NotPetya va amputer le chiffre d’affaires annuel de Saint-Gobain de 250 millions d’euros. Si l’impact est majeur, le groupe bénéficie d’une conjoncture favorable permettant d’en diluer les effets.
Dans son rapport sécurité de mi-parcours, Cisco prévoit la multiplication des attaques à la NotPetya n'ayant pour seul but que la destruction des données des organisations.
Plutôt que de tenter de décrypter les mystérieux signaux radio provenant de l’espace, lisez nos télégrammes du soir.
Les conséquences du passage de NotPetya sont lourdes pour les groupes les plus touchés. Maersk a demandé une dérogation aux autorités américaines faute de pouvoir accéder à une base de données essentielle à son activité de transporteur ...
Des erreurs dans l’implémentation d’un protocole de chiffrement devraient permettre à certaines victimes de NotPetya de récupérer leurs données. Mais la procédure reste très technique.
L’auteur de Petya publie une clef maître permettant de déchiffrer les données prises en otage par son ransomware. Mais ce sésame est inopérant avec le malware destructeur NotPetya…
Le groupe britannique Reckitt s’attend à une baisse de ses ventes de plus de 110 millions sur un seul trimestre en raison des dommages causés par NotPetya.
Le groupe à l'origine de NotPetya donne de ses nouvelles en proposant une clé de déchiffrement de son ransomware au prix de 100 bitcoins.
Pour le directeur général de l’Anssi, l’attaque par NotPetya a laissé certaines entreprises dans un état catastrophique. Avec un cas particulièrement problématique.
Selon une étude, les DSI ne semblent pas pressés de mettre à jour les systèmes d’information après les vagues d’attaques par ransomware.
Suite de l’affaire Petya. L’OTAN pourrait considérer la cyberattaque comme un acte de guerre. De plus, le malware comporte des fichiers issus des recherches d'un Français.