L’utilisation de code malveillant pour miner des cryptomonnaies a représenté 32% des attaques au 1er semestre 2018, contre 7% au semestre précédent.

L’utilisation de code malveillant pour miner des cryptomonnaies a représenté 32% des attaques au 1er semestre 2018, contre 7% au semestre précédent.
En Europe, les services professionnels et commerciaux sont les premiers ciblés par les attaques par ransomware, phishing ou DDoS, devant le secteur financier, rapporte NTT Security.
Microsoft dote Office 365 de nouvelles fonctionnalités destinées à protéger les utilisateurs contre la cybercriminalité.
L’embarras et la préoccupation de récupérer les données poussent les salariés à payer de leur poche les rançons des ransomwares.
Un nouveau ransomware, inspiré de Petya, se propage rapidement en Russie en se faisant passer pour le player Flash d’Adobe.
Trois, cinq ou dix ans, aussi longue soit-elle, l’utilisation du glyphosate n’empêchera pas les télégrammes du soir de pousser.
Des chercheurs italiens ont imaginé une surcouche au système de fichiers de Windows, permettant de détecter la plupart des ransomwares et de restaurer les éventuelles données chiffrées.
Le passage de NotPetya va amputer le chiffre d’affaires annuel de Saint-Gobain de 250 millions d’euros. Si l’impact est majeur, le groupe bénéficie d’une conjoncture favorable permettant d’en diluer les effets.
Le groupe britannique Reckitt s’attend à une baisse de ses ventes de plus de 110 millions sur un seul trimestre en raison des dommages causés par NotPetya.
Epicentre de l’infection par Petya, l’Ukraine est aussi visé par un autre ransomware, un clone du tristement célèbre WannaCry. En quelques semaines, c’est le 4ème ransomware lancé pour désorganiser le pays de l’Est.
Nouvelle crise, vieilles recettes ? Petya, le ransomware qui se diffuse dans le monde entier depuis hier, récupère des ingrédients connus, mais y ajoute quelques raffinements attisant sa dangerosité.
WannaCry ? Un ransomware de facture classique, dont le comportement traduit la nature, selon Jean-Louis Lanet, chercheur spécialisé dans l’étude des virus. Qui redoute par contre l’arrivée de malwares de chiffrement bien plus pernicieux…
Dans un document de synthèse, Microsoft explique pourquoi Windows 10 est mieux immunisé que ses prédécesseurs contre les ransomwares. Un ensemble de fonctions qui expliquent pourquoi l’OS a échappé à la crise WannaCry.
Plusieurs traces de malwares attribué au groupe de cyber-hackers nord-coréens Lazarus ont été retrouvées dans la plus récente version de WannaCry.
La diffusion planétaire de WanaCryptor résulte de l’union d’un ransomware standard et des outils de hacking qui ont fuité de la NSA. Un cocktail détonnant qui a pris au piège Renault, Telefonica ou le système de santé britannique, le NHS.
Le ransomware Locky tente une nouvelle percée à travers une campagne de spam et un mode opératoire aujourd’hui dépassé.
Google entend réduire les surfaces d’attaque des ransomwares en supprimant certaines fonctionnalités de Android 8.0.
Un cybercriminel propose un ransomware en mode SaaS, Karmen, permettant de rançonner des utilisateurs de PC. Et l’outil ne coûte que 160 euros.
L’exploitation des ransomwares est une activité très rentable pour les cybercriminels. Tout simplement parce que, faute de défenses adaptées, nombre d’utilisateurs n’ont d’autre choix que de payer la rançon pour récupérer leurs données.
Ils sont neufs, et pourtant des malwares y sont installés. Des adwares et même des ransomwares ont été détectés par Check Point Software sur plusieurs smartphones neufs.
Le retour annoncé du mythique Nokia 3310 à Barcelone ne doit pas vous faire oublier de lire les télégrammes du soir.
Les RSSI voient leurs budgets progresser, à mesure que grandit la prise de conscience des enjeux de cybersécurité au sein des organisations. Mais les solutions du marché restent inadaptées à leurs attentes.
Un hôtel des Alpes autrichiennes a vu son système de gestion des clefs électroniques bloqué par un ransomware. Face à ce phénomène, l’établissement s’est résolu à payer la rançon demandée.
Les ransomwares font de nouvelles victimes. Un établissement de santé gérant 5 hôpitaux de l’est de Londres et une quarantaine d’écoles de Bordeaux sont tombés dans leurs filets.
Un ou plusieurs cybercriminels s’attaque aux bases MongoDB mal sécurisées. Ils en exfiltrent les données et réclament une rançon pour restituer l’information.
Plusieurs spécialistes de la sécurité informatique sont formels les ransomwares vont évoluer pour s’en prendre au réseau à travers des vers.
Cybereason propose RansomFree, une application qui attire les ransomwares sur de fausses pistes pour mieux les détecter et les éradiquer.
Dans une étude de SentinelOne, la France est confrontée, comme d’autres pays, aux ransomwares. Mais elle a quelques particularités.
Le projet No More Ransom propose des outils de déchiffrement pour les victimes de ransomware. Outils qui auraient déjà permis de priver les cybercriminels de plus d’un million d’euros de recette.
Autorités policière européennes et éditeurs de sécurité allient leurs forces pour contrer les ransomwares à travers un portail.