USF : 7ème mandat consécutif pour Gianmaria Perancin

Le Conseil d’Administration de l’Association des Utilisateurs SAP Francophones ( USF) a réélu Gianmaria Perancin comme Président pour son 7ème mandat consécutif.

Les adhérents de l’USF, Association des Utilisateurs SAP Francophones, via les membres du Conseil d’Administration ont renouvelé leur confiance à Gianmaria Perancin en tant que Président de l’Association, pour son 7ème mandat consécutif.

Sa feuille de route tient en 3 lettres : « E.R.P ».

Gianmaria Perancin souhaite étendre ( c’est le E), les activités de l’association notamment en poursuivant ses réflexions sur l’intelligence artificielle, l’agilité et l’automatisation dans SAP, que ce soit pour le back ou le front office.

Rappelons que SAP avait présenté Joule, un assistant IA « à la Copilot » en septembre 2023.

Autre axe de travail : rayonner à l’international ( c’est le R).

« L’un des objectifs de l’USF pour 2024 est de resserrer davantage les liens avec les autres clubs utilisateurs dans le monde pour multiplier les échanges et ainsi renforcer l’influence et la légitimité de tous les utilisateurs sur la base d’un dialogue constructif et transparent avec SAP. » indique l’association.

Enfin, l’USF veut « peser sur la stratégie de SAP »( c’est le P).

« La question autour des utilisateurs SAP encore basés sur des solutions on premise reste ouverte. Certaines entreprises ont migré ou sont en train de migrer vers S/4HANA, mais la majorité reste encore sur ECC6, et l’USF le répète : leur accompagnement vers l’avenir est un point que SAP doit intégrer dans sa stratégie. » explique l’association.

L’USF veut aussi questionner  les impacts sur les données de l’offre RISE « qui repose uniquement sur des hyperscalers américains, sans alternative sur le cloud souverain.»

La question de la protection des données « constitue un sujet stratégique pour certains adhérents de l’USF, notamment dans le secteur public, mais aussi pour toutes les entreprises dans un secteur économique sensible ou stratégique, ou traitant des masses de données personnelles. »précise l’association.

Elle indique son intention de travailler avec le CIGREF et « soutenir les initiatives autour du SecNumCloud en France, et sécuriser le maintien d’exigences de souveraineté numérique dans la future directive EUCS (European Cybersecurity Strategy) de l’Union Européenne.»