Le Privacy Shield « fonctionne », mais « reste à améliorer » pour protéger dans la durée les données transférées aux États-Unis, selon la Commission européenne.

Le Privacy Shield « fonctionne », mais « reste à améliorer » pour protéger dans la durée les données transférées aux États-Unis, selon la Commission européenne.
Pour le Conseil national du numérique, le Privacy Shield doit être "renégocié" car l'accord n'offre pas de garanties suffisantes à la protection des données.
Saluant la mémoire de Gonzague Saint Bris disparu tragiquement, il est temps de lire les télégrammes du soir.
Twitter a mis à jour sa politique de confidentialité en étendant les capacités de ciblage des abonnés avec la suppression du Do Not Track. En échange, les utilisateurs disposeront de plus d’outils pour contrôler les données transmises ...
Les CNIL européennes s’inquiètent du récent décret sur l’immigration du Président Trump. Elles veulent s’assurer que le Privacy Shield n’en souffrira pas.
Donald Trump a signé un décret où la protection des données n'est pas accordée aux citoyens non-américains. Coup de canif au Privacy Shield ? La Commission européenne temporise.
Un recours a été déposé par Digital Rights Ireland pour obtenir l'annulation du feu vert européen au Privacy Shield, le nouvel accord qui encadre le transfert de données de l'UE vers les États-Unis. En France, 3 associations ont égalem ...
Google, Microsoft et Salesforce sont les premiers à adopter le nouveau bouclier transatlantique visant à encadrer l’exploitation des données personnelles des Européens.
Les CNIL européennes ne sont pas satisfaites du Privacy Shield, mais prennent date en 2017 pour s’inviter dans la révision de l’accord.
Pas besoin de l'application Pokemon Go pour trouver les télégrammes du soir. Il suffit de les lire.
A l’occasion du Cloud Independance Day, le Privacy Shield a cristallisé les débats. Les industriels appellent à plus de stabilité et de visibilité réglementaire. Max Schrems, pourfendeur du Safe Harbor, affute ses arguments pour invali ...
Pas besoin du 49-3 pour vous faire lire les télégrammes du soir.
Accès aux données transférées aux États-Unis, voies de recours, médiation... sont autant de « sujets d'inquiétude » pour le G29, groupe des CNIL européennes. L'industrie s'impatiente.
Alors qu'Intel vient de présenter sa première collection de robes connectées, Silicon.fr vous offre son défilé de télégrammes du soir.
Le Privacy Shield, l'accord entre l’UE et les Etats-Unis sur le transfert des données, fait un premier heureux : Microsoft. Les CNIL européennes sont elles bien plus hésitantes.
Le débat FBI-Apple sur le déverrouillage d’un iPhone pourrait avoir un impact sur l’accord Privacy Shield passé entre les Etats-Unis et l’Europe en remplacement du Safe Harbor.
Les États-Unis se disent prêts à limiter la collecte en vrac de données de citoyens européens dans le cadre du « Privacy Shield ». Cet accord post-Safe Harbor est actuellement examiné par les CNIL européennes (G29).
Si Privacy Badger bloque la pub et que le menu Démarrer de Windows rentre au panthéon du design, il est temps de lire les télégrammes du soir.
Après l'administration Obama et la Commission européenne, Google souhaite que la loi américaine sur la protection de la vie privée soit étendue aux citoyens de l'Union européenne.
D'après EMC, 63% des internautes interrogés en France déclarent privilégier la confidentialité des données plutôt que la simplicité d'utilisation. La défiance à l'égard des entreprises et des gouvernements est réelle.
Google avait « l’intention volontaire » de collecter des données sur les réseaux wifi ouverts selon Privacy International. Ce qui rend le moteur de recherche coupable aux yeux de l'ONG.
Privacy International invite les nations du monde à suspendre immédiatement tout programme de divulgation à l'administration américaine des transactions bancaires