Si Michel Platini promet de sortir prochainement de son silence, les télégrammes n’attendent pas pour sortir chaque soir.

Si Michel Platini promet de sortir prochainement de son silence, les télégrammes n’attendent pas pour sortir chaque soir.
Pour éviter la cyber-ingérence d’un ou plusieurs Etats dans la campagne présidentielle, François Hollande demande des mesures de protection.
Un hackaton réunit de jeunes développeurs à l’École des Mines et l’Hôtel de Marigny. L’initiative préfigure la grande école du numérique, un réseau de formations labellisées initié par le gouvernement.
Comment la NSA est-elle parvenue à écouter le contenu des communications des présidents français ? La piste la plus probable renvoie à une écoute passive des fréquences GSM. Une technique qui suppose d’être en mesure de décrypter simplement les communications.
Le président de la République a annoncé son intention de faire vérifier la conformité du texte relatif au renseignement. Suicide législatif ?
Google va injecter 600 millions d’euros dans la création d’un datacenter au Pays-Bas. Cet investissement étoffe sa présence en Europe.
Après le scandale de l’espionnage « Made in NSA », François Hollande partage les préoccupations d’Angela Merkel en matière de protection des données, mais ne parle pas de créer un réseau européen, comme l’avait évoqué samedi la chancelière allemande.
Une trentaine de grands patrons internationaux, dont les dirigeants de SAP, Samsung et Intel, ont participé lundi à un « conseil de l’attractivité » présidé par François Hollande. « Passeport de talents » étrangers, nouvel opérateur de promotion de la France et stabilité fiscale figurent parmi les mesures annoncées à cette occasion par le chef de l’État.
La chancelière allemande, attendue à Paris mercredi, va proposer à la France de bâtir un réseau européen évitant le transit de données européennes aux Etats-Unis. Un projet qui renvoie au programme de réseau national de Deutsche Telekom, Clean Pipe.
Pour attirer davantage de talents en France, un visa de quatre ans sera proposé aux investisseurs et entrepreneurs étrangers. Jusqu’à 10 000 personnes pourraient en bénéficier chaque année, a indiqué François Hollande lors de sa visite américaine.
Pour clore sa visite officielle aux États-Unis, le président François Hollande inaugure le US French Tech Hub de San Francisco. La première des « maisons de l’international » propose des services d’hébergement, du conseil, ainsi qu’un accès à des réseaux et des financements adaptés aux jeunes pousses françaises de l’étranger.
Lors d’une conférence de presse conjointe avec Barack Obama, François Hollande a mis l’accent sur « la confiance mutuelle restaurée » après le scandale de la surveillance massive pratiquée par la NSA. Circulez, il n’y a plus rien à voir ? Pour la Quadrature du Net, la surveillance globale reste « un grand bazar », auquel Paris participe largement.
Lors de ses voeux aux acteurs économiques, François Hollande a donné le coup d’envoi du pacte de responsabilité. Le chef de l’État a apporté des précisions sur les baisses de charges des entreprises et les contreparties attendues en termes d’emplois.
Allègement du coût du travail, modernisation de la fiscalité, simplification administrative et contreparties sur l’emploi constituent les quatre chantiers du « pacte de responsabilité » promu par François Hollande. L’industrie numérique et le patronat saluent l’annonce de la fin des cotisations familiales d’ici 2017. Les syndicats de salariés prônent le dialogue social.
Téléprocédures, dématérialisation… Le numérique est un levier essentiel du « choc de simplification » souhaité par le président de la République. François Hollande veut accélérer sa mise en œuvre et en assurer le suivi via un conseil ad hoc copiloté par Thierry Mandon (député) et Guillaume Poitrinal (chef d’entreprise).
Vainqueur de l’élection présidentielle du 6 mai, le socialiste François Hollande a précisé durant sa campagne ses choix en faveur d’une transformation numérique de l’économie et de la société. Récapitulatif.
À la demande du Conseil national du logiciel libre (CNLL), les deux candidats crédités des plus fortes intentions de vote à l’élection présidentielle, François Hollande (PS) et Nicolas Sarkozy (UMP), ont précisé leurs positions concernant l’économie du libre.