Le Cigref et Kaspersky co-président un groupe de travail de l’Appel de Paris consacré au renforcement de la sécurité et de la stabilité du cyberespace.

Le Cigref et Kaspersky co-président un groupe de travail de l’Appel de Paris consacré au renforcement de la sécurité et de la stabilité du cyberespace.
Avec Kaspersky Research Sandbox, l’éditeur de logiciels s’adresse aux organisations dotées d’un centre des opérations de sécurité (SOC) ou d’un CERT.
Kaspersky s’engage à fournir à Interpol un soutien humain et du renseignement sur les menaces pendant 5 années supplémentaires.
Kaspersky Lab a saisi l’agence antitrust russe contre Apple. L’éditeur de solutions de sécurité dénonce la politique de l’App Store qui aurait pour effet de neutraliser certains services concurrents.
La cybersécurité se trouve à la croisée des chemins et doit décider de sa direction future. Le choix qui sera fait conditionnera l’avenir de notre secteur et la sécurité du cyberespace pendant les années à venir, c’est pourquoi il ne faut pas se tromper. Les conséquences toucheront chacun d’entre nous : allons-nous payer plus cher pour moins de sécurité ? Voir augmenter nos primes d’assurance et nos frais bancaires pour couvrir le coût de cyber incidents de plus en plus nombreux ?
Une juge fédérale a débouté l’éditeur russe d’antivirus qui contestait l’interdiction de ses logiciels dans les organismes de l’administration étasunienne.
Banni de plusieurs administrations nationales pour des soupçons de collusion avec les services secrets russes, Kaspersky va installer ses labos en Suisse pour tenter de regagner la confiance.
Le malware baptisé Slingshot par Kaspersky Lab a pour vecteur d’infection des routeurs MikroTik et présente un très grand degré de sophistication, comme le détaille, l’éditeur russe de logiciels antivirus.
Kaspersky Lab (solution anti-virus) a décortiqué le spyware « Skygofree », qui infecte les terminaux mobiles Android et qui est doté de capacités de surveillance inédites.
Les attaques par malwares et les menaces persistantes avancées ciblant la chaîne logistique marqueront l’année 2018 et au-delà, prévoit l’éditeur de logiciels Kaspersky.
Aux USA, l’éditeur Kaspersky d’origine russe fait appel de la directive Trump qui bannit ses logiciels antivirus dans l’administration fédérale.
Charles Manson vient définitivement démontrer son désintérêt pour les télégrammes du soir.
Les télégrammes du soir monteront-ils un jour dans les camions électriques de Tesla ?
En attendant de savoir qui sera le prochain président des Républicains, lisez les télégrammes du soir.
Kaspersky lance l’initiative « Global Transparency » pour maintenir la confiance de ses clients dans le monde face à la défiance des Etats-Unis.
Vendu sur le dark web depuis juin 2016, le malware Cutlet Maker, qui permet de vider un distributeur de billets, se renouvelle.
Selon le WSJ, l’antivirus Kaspersky aurait permis à des pirates russes d’identifier et dérober des documents confidentiels de la NSA.
Kaspersky se penche sur Face ID, le système d’authentification pour iPhone X basé sur la reconnaissance faciale, qui est fiable selon Apple. Vraiment ?
Le Department of Homeland Security ordonne à toutes les organisations gouvernementales de supprimer l’antivirus Kaspersky de leurs systèmes IT.
Le FBI demande aux entreprises privées américaines de cesser d’utiliser l’antivirus de l’éditeur russe Kaspersky.
Kaspersky a décidé de retirer la plainte pour abus de position dominante contre Microsoft. Ce dernier va modifier Windows 10.
Concurrencé par la présence par défaut de Windows Defender dans Windows 10, Kaspersky lance une version gratuite, allégée mais pertinente, de son antivirus.
Comme Donald Trump, vous n’avez pas le temps regarder la télé ? Alors lisez nos télégrammes du soir…
Alors que des sénateurs US veulent bouter Kaspersky des contrats militaires. Son fondateur réitère son offre d’accès au code source des solutions.
Avec un Raspberry Pi Zero et quelques outils accessibles sur la Toile, Kaspersky Lab a pu créer une clé USB de piratage de données.
Selon des experts en sécurité, la campagne menée par le malware Petya s’apparente plutôt à du sabotage qu’à un rançongiciel traditionnel.
Nouvelle crise, vieilles recettes ? Petya, le ransomware qui se diffuse dans le monde entier depuis hier, récupère des ingrédients connus, mais y ajoute quelques raffinements attisant sa dangerosité.
Le nombre de malwares conçus pour les objets connectés explose. Objectif premier : prendre le contrôle des objets, pour les enrôler dans des botnets.
Dans un blog, Microsoft avoue avoir désactivé des antivirus tiers dans Windows 10 pour résoudre des problèmes de comptabilités.