Microsoft propose une première image disque (de Windows 10) pour expérimenter la virtualisation Hyper-V sur ARM64.

Microsoft propose une première image disque (de Windows 10) pour expérimenter la virtualisation Hyper-V sur ARM64.
La dernière version expérimentale de Windows 10 (build 19559) apporte une prise en charge complète d’Hyper-V sur ARM64.
Les développeurs peuvent désormais exécuter leurs applications Linux Ubuntu sur Windows 10 et Windows Server, annonce Canonical.
Les développeurs vont bientôt pouvoir gérer des conteneurs Linux de manière native sur Windows Server.
Après un mois de vacances, Microsoft a enfin livré son Patch Tuesday. Il compte 17 bulletins pour panser 134 vulnérabilités, dont des failles Zero Days exploitées.
Arrivé depuis quelques mois chez Veeam, l’ex-dirigeant de VMware Americas, Peter McKay connait bien la virtualisation. Toutefois, Veeam gère aussi les équipements physiques. Il partage sa vision avec silicon.fr après quelques semaines d’installation.
Microsoft offre Windows Server 2016, édition datacenter, à toutes les entreprises délaissant VMware pour son offre de virtualisation Hyper-V. Réellement une bonne affaire ?
La dernière Insider Preview Build de Windows 10 propose le support des conteneurs Hyper-V. Seul écueil, de taille, le public français n’y aura pas accès.
Simplivity profite de la mise à jour de sa solution Omnistack pour intégrer le support de Hyper-V et de mettre en avant d’autres fonctionnalités.
Docker adapte sa technologie de conteneurs à Windows et à Mac OS X et présente, en version bêta limitée, deux applications pour ces environnements.
Une étude menée par SpiceWorks donne des indications sur les attentes et les conditions de migration des responsables IT vers Windows Server 2016. Le conservatisme domine.
La nouvelle version bêta de Windows Server propose un nouveau mode de déploiement des conteneurs, au sein de l’hyperviseur Hyper-V. Le dispositif d’adoption des conteneurs dans l’OS de Redmond apparaît aujourd’hui quasi-finalisé.
Selon Kaspersky, réparer les dégâts après un incident de sécurité sur une architecture virtualisée coûte deux fois plus que sur une infrastructure physique.
A l’occasion de son évènement américain, Nutanix a présenté deux initiatives, Acropolis et Prism pour simplifier le déploiement et la gestion d’environnements virtualisés. Des éléments pour mieux concurrencer VMware.
Dans 5 mois, Windows Server 2003 s’éteint. Mais nombre d’entreprises ne pourront migrer à temps. Microsoft devrait logiquement s’acheminer vers une maintenance sur mesure… au prix fort.
Veeam propose un outil de supervision des environnements VMware pour System Center de Microsoft. Le service Management Pack passe en version 7 en intégrant Hyper-V.
Veeam est connu pour son expertise dans le stockage avec son produit phare Backup & Replication. « Nous étions aussi présent dans le domaine de la supervision des infrastructures virtuelles », souligne Stéphane Bertaud, directeur technique de Veeam. Le service de supervision a changé au fil des années pour devenir Management Pack pour System
La faille Heartbleed, touchant la librairie de cryptographie OpenSSL, fait des dégâts parmi les technologies de virtualisation. Microsoft échappe au jeu de massacre.
Ancien de VMware, Sylvain Siou est devenu directeur technique pour la France de Nutanix, une start-up américaine spécialisée dans les infrastructures convergées pour les environnements virtualisés. La suite logique de l’histoire, explique-t-il.
Pourquoi ne pas faire converger serveurs et stockage dans un même environnement physique doté d’un logiciel se chargeant d’accélérer les flux ? Nutanix étend son pari à Hyper-V, en partenariat avec Microsoft.
Microsoft annonce Linux Integration Services 3.5 for Hyper-V, un ensemble packagé de pilotes étendant le nombre de distributions Linux supportées dans l’hyperviseur. Avec cette mise à jour, Redmond revient au niveau de son rival VMware.
Un outil Veeam pour superviser VMware à partir de Microsoft System Center… Stéphane Berthaud, de Veeam, et Jean-Philippe Dupuich, de Microsoft, expliquent pourquoi cette annonce permet de répondre à un des défis majeurs des productions informatiques : la cohabitation de technologies de virtualisation différentes.
Après le dimensionnement une infrastructure virtuelle, Sébastien Truttet, de Nadra Technologies, prolonge sa vision d’expert sur les indicateurs, en exclusivité pour Silicon.fr.
Windows Azure fait sa mue : prix plus bas pour les entreprises s’engageant sur plusieurs années, connectivité directe vers les datacenters Equinix et mouture dédiée au gouvernement américain.
SUSE Cloud 2.0 apporte le support des hyperviseurs Microsoft Hyper-V et VMware ESXi, des solutions réseau de Cisco et des offres de stockage d’EMC.
Choisies notamment par l’hébergeur Claranet, les appliances de la start-up californienne Nutanix proposent une nouvelle approche dans la gestion des VM. Une approche basée sur le rapprochement du stockage et de la puissance de calcul.
Les technologies logicielles d’Oracle sont dorénavant certifiées pour une utilisation sous Hyper-V et Windows Azure. Une annonce importante pour Microsoft.
L’intégration des standards est une longue et pénible marche. Surtout lorsque les standards émergent à peine, ou pas encore… est-ce pour autant la panacée pour l’entreprise ?
Red Hat a intégré les pilotes d’interopérabilité avec l’hypersiveur de virtualisation de Microsoft dans la nouvelle version RHEL 5.9.
Lors de VMworld 2012 à Barcelone, Bogomil Balkansky, senior vice-president Cloud Infrastructure chez VMware, nous a commenté quelques unes des annonces : quid d’Hyper-V et de Microsoft Azure ?