L'Arcep met en lumière les écarts méthodologiques entre les études traitant de l'impact environnemental du numérique.

L'Arcep met en lumière les écarts méthodologiques entre les études traitant de l'impact environnemental du numérique.
L'ultime volet de l'étude ADEME-Arcep sur l'empreinte environnementale du numérique est paru. En voici quelques morceaux choisis.
Quel poids pour le RTC, la fibre optique ou encore la data mobile ? Le point à partir de quelques indicateurs Arcep.
L'Arcep rend publique sa première enquête sur l'impact environnemental du numérique en France. Malgré le périmètre encore limité, qu'en retenir ?
Après les 2,6 GHz et les 26 GHz, l'Arcep ouvre aux expérimentations 5Gune troisième bande de fréquences (3,4 - 3,8 GHz).
L'ADEME et l'Arcep ont remis au Gouvernement leur rapport sur l'empreinte environnementale du numérique en France. Focus sur dix indicateurs.
L'Arcep a identifié divers leviers pour fiabiliser la mesure de la qualité des accès internet ? Où en est-elle dans leur mise en place ?
La transition vers l'IPv6 est un axe majeur du rapport de l'Arcep sur l'état d'internet en France. Où en sont les différents maillons de la chaîne technique ?
Dans le cadre de sa réflexion sur le futur service universel « version haut débit », l'Arcep réaffirme sa circonspection quant à certains pans du déploiement de la fibre en métropole.
La nomination de Laure de la Raudière est officialisée par décret. L'élue devient la première femme à diriger l'Arcep, régulateur des télécoms français.
Le premier observatoire 5G de l'Arcep illustre la diversité des stratégies de déploiement que les opérateurs mettent en place.
Après trois ans d'existence, la plate-forme de signalement « J'alerte l'Arcep » bénéficie de sa première refonte majeure. Comment évolue-t-elle ?
Orange a obtenu la part du lion lors de l'enchère principale d'attribution des fréquences à 3,5 GHz qui accueilleront le réseau 5G.
Le revenu associé aux services mobiles des opérateurs et les ventes d'accès fixe à haut et très haut débit ont progressé en fin d'année 2019, selon l'Arcep.
L'enchère principale pour les fréquences 5G démarrera-t-elle bien à la date prévue ? L'Arcep n'exclut pas un report.
Les quatre principaux opérateurs français ont déposé leur candidature dans le cadre de l'attribution de fréquences pour la 5G en France métropolitaine.
Comment lever les barrières à l'adoption du protocole IPv6 ? Le régulateur esquisse des pistes.
Le gouvernement soumet à consultation publique les textes qui définiront les conditions d'attributions des fréquences 5G. Objectif : finaliser la procédure en juin 2020 au plus tard.
La baromètre du numérique de l'Arcep décrit des Français contraints par leur écosystème mobile, mais peu désireux de s'en émanciper.
Les conditions des enchères pour la 5G à 3,5 GHz sont connues. Le prix de réserve aussi : 2,17 milliards d'euros.
Logistique, ville intelligente, mobilité... Onze premiers projets français de plateformes ouvertes d'expérimentations 5G ont obtenu des fréquences 26 Ghz.
Les derniers blocs d'adresses IPv4 pour l'Europe seront attribués dans les prochaines semaines. Quelles perspectives dans le contexte de la longue migration vers IPv6 ?
Le Gouvernement a envoyé au régulateur des télécoms les orientations qu’il souhaite pour l'appel à candidatures sur les licences 5G qui sera lance à l'automne 2019.
Pour le président de l'Arcep un rééquilibrage par la régulation ex ante des terminaux est nécessaire pour assurer un internet ouvert et le libre choix des utilisateurs.
Un lancement commercial des services 5G est prévu à horizon 2020 en France. C'est en tout cas l'objectif que s'est fixé le gouvernement.
Les deux opérateurs ont obtenu l'autorisation pour lancer, cette année, des expérimentations techniques sur la 5G, entre 3,6 et 3,8 GHz.
Dans un rapport, l'ARCEP souligne les restrictions des choix de services numériques en fonction des environnements et des terminaux mobiles.
L’accord dit "historique" pour étendre la couverture mobile 4G, annoncé la semaine dernière, suscite un certain scepticisme.
L'Etat, l'ARCEP et les opérateurs changent de paradigme pour étendre la connectivité 4G sur l'ensemble du territoire. Tous volontaires ?
A part Iliad/Free, les opérateurs télécoms français ne se mobilisent guère pour accélérer la transition vers IPv6, selon un bilan de l'ARCEP.