Les projets d’intelligence artificielle (IA) qui ont le plus d’impact sur le business sont pilotés par les directions générales. La DSI peut mieux faire.

Les projets d’intelligence artificielle (IA) qui ont le plus d’impact sur le business sont pilotés par les directions générales. La DSI peut mieux faire.
Plus d’un professionnel interrogé sur deux se déclare enthousiaste à l’idée d’avoir « un robot comme collègue ». En France, ils ne sont plus que 8% à le dire.
Google a publié une base de 3 000 vidéos pour soutenir la recherche et le développement d’outils de détection de vidéos truquées par une IA.
Six dirigeants de grandes entreprises sur dix font confiance aux décisions prises par une intelligence artificielle (IA), selon un rapport de Fujitsu.
Les solutions du marché basées sur de l’IA vont apporter immédiatement à l’entreprise des gains de productivité. Cependant, c’est en s’appuyant sur les métiers que les entreprises pourront tirer le maximum de cette technologie et prétendre à l’augmentation de leur compétitivité.
Google a mis à jour et renforcé Dialogflow et Cloud Speech-to-Text, les solutions socles du portefeuille Contact Center AI.
Près de 7 décideurs informatiques sur 10 pensent que, sans IA, leur organisation ne sera pas en mesure de répondre aux cyberattaques à venir.
L’IA permet d’utiliser la donnée pour une meilleure compréhension des comportements clients grâce à la segmentation, à la modélisation des comportements d’achat et à la prévision de la demande.
L’IA doit-elle être exclusive, c’est-à-dire réservée à quelques érudits, ou doit elle être inclusive, c’est-à-dire partagée par tous ? Telle est la question qui anime aujourd’hui de nombreuses entreprises.
Les évolutions des attentes des clients bouleversent constamment les règles. C’est pourquoi les entreprises doivent pouvoir compter sur un environnement agile.
Les nouvelles techniques d’IA permettent d’aller plus loin grâce au NLP. Son rôle : étudier la programmation informatique qui permet de traiter et d’analyser de grandes quantités de données formulées en langage naturel.
Le rapport « Intelligence artificielle – État de l’art et perspectives pour la France », tout juste publié, vient à point nommé explorer les finalités économiques de l’IA pour notre pays.
Avec son nouveau site de Paris-Saclay, IBM poursuit le développement de son offre IA depuis l’Hexagone.
Retail, banque et production font partie des secteurs qui dépensent le plus en systèmes d’IA. Un marché en croissance de 44% en 2019, prévoit IDC.
La dernière génération de solutions RH s’appuie largement sur les technologies de machine learning et l’analyse sémantique. Leur approche par les compétences se veut moins discriminante que les processus RH traditionnels.
Des talents aux données, PwC met en exergue 6 priorités pour un déploiement efficient de l’intelligence artificielle à l’échelle de l’entreprise.
Près de 320 000 personnes développent une activité de micro-travail en France révèle une enquête. Une activité mal connue mais d’une ampleur similaire au développement du VTC et de la livraison express.
Le rapport de l’Organisation mondiale de la propriété intellectuelle des Nations Unies révèle le Top 5 des champions de dépôt de brevets liés à l’intelligence artificielle. IBM est le numéro 1 avec plus de 8000 brevets. Microsoft suit devant Toshiba, Samsung et NEC.
De la conception jusqu’au déploiement, elles s’adressent pour l’instant aux secteurs de l’industrie, de l’expérience client et des services financiers.
Pour Microsoft France, l’année 2019 sera placée sous la double priorité du développement de projets IA et de la conversion des clients à ses offres Cloud.
Pour bénéficier des promesses de l’intelligence artificielle, les DSI ont intérêt à se positionner en partenaires des métiers et en pilotes du changement.
L’automatisation bouleverse le travail et les modes de production des entreprises. Mais, la Banque Mondiale écarte à son tour l’hypothèse d’un remplacement systématique d’emplois par des robots ou des applications d’intelligence artificielle.
Les solutions du marché basées sur de l’IA vont apporter immédiatement à l’entreprise des gains de productivité. Cependant, c’est en s’appuyant sur les métiers que les entreprises pourront tirer le maximum de cette technologie et prétendre à l’augmentation de leur compétitivité.
Google a décidé d’ouvrir un laboratoire dédié à l’intelligence artificielle (IA) à Princeton et collabore avec des chercheurs de l’université.
Les grandes entreprises adoptent les technologies de rupture (IA, IoT, Blockchain..) pour croître et s’adapter. Mais des freins à leur diffusion demeurent.
Surnommée T-Rex par Nvidia, la carte graphique Titan RTX basée sur l’architecture Turing a été dévoilée par le groupe à l’occasion de la conférence NeurIPS : 130 téraflops à disposition des scientifiques et des développeurs en IA.
Seules 20% des entreprises interrogées ont déjà mis en production des solutions d’intelligence artificielle, rapporte PwC France.
Des scientifiques de TRACLabs ont mis au point CASE, un système IA inspiré du supercalculateur HAL 9000 du film « 2001, l’Odyssée de l’espace » de Stanley Kubrick (1968).
C’est discrètement qu’Apple a mis la main sur Silk Labs, du nom d’une start-up éditant des logiciels pour l’IA. Se profile avec cette acquisition évolution de Siri en mode edge computing, c’est-à-dire fonctionnant en local, sans connectivité à Internet.
Pour accélérer l’industrialisation d’Intelligences Artificielles, les entreprises doivent adopter une méthode de développement fondée sur des cycles d’itération, à l’image de la création logicielle.