Le « deal à 10 milliards » n’aura pas lieu : Atos et DXC ont mis un terme aux négociations qu’ils entretenaient en vue d’une fusion.

Le « deal à 10 milliards » n’aura pas lieu : Atos et DXC ont mis un terme aux négociations qu’ils entretenaient en vue d’une fusion.
Atos a approché son concurrent américain DXC en vue d’une acquisition. Le deal pourrait dépasser les 10 milliards de dollars.
Atos entend faire appel d’un jugement contre sa filiale Syntel, condamnée aux États-Unis pour détournement de secrets commerciaux.
A l’issue de l’Assemblée générale du 27 octobre, la candidature de l’ancien Premier ministre devrait être validée pour intégrer le conseil d’administration de l’ESN.
Atos est entré en négociation exclusive avec Econocom en vue d’acquérir sa filiale digital.security, qui a développé une expertise dans l’IoT.
Le groupe français Atos acquiert Maven Wave, société américaine de conseil en technologies, moins de deux ans après le rachat de Syntel.
Atos propose aux entreprises un service géré regroupant fourniture, maintenance et gestion de Chromebooks couplés aux logiciels G Suite et Circuit.
Thierry Breton lâche la direction opérationnelle d’Atos pour préparer ses auditions devant les euro-députés en vue de décrocher le poste de Commissaire européen.
Atos poursuit sa politique de croissance externe dans le secteur de la cybersécurité avec l’acquisition de IDnomic, spécialiste français des infrastructures à clés publiques (PKI).
Le groupe de services IT Atos contribue au développement du système COSMIC de détection des menaces chimiques dans des conteneurs maritimes.
Pour éviter la rupture de services critiques des organisations dans le cloud, Atos lance sa solution Evidian Safekit. 100% logicielle, elle combine réplication des données, basculement des applicatifs et répartition des charges de travail.
Atos s’offre Syntel, société américaine des technologies de l’information, pour 3,4 milliards de dollars. L’acquisition va permettre d’étendre ses activités aux USA et réaliser des synergies de coûts estimées à 120 millions $ par an dès la fin 2021.
Le groupe de services numériques français va intégrer plusieurs solutions de Google dans ses offres de Cloud et d’IA. La suite bureautique G Suite fait aussi partie de l’accord.
Malgré les cyberattaques et le RGPD, les entreprises françaises sont encore peu couvertes contre le cyber-risque. Un rapport du Club des Juristes veut changer la donne.
Dimanche 17 décembre, Thales a annoncé le rachat de Gemalto pour 4,8 milliards d’euros pour créer « un leader mondial de la sécurité digitale ». Atos renonce à surenchérir.
Gemalto repousse la proposition « sous-évaluée » de rachat par Atos pour 4,3 milliards d’euros. Le groupe de Thierry Breton confirme son offre présentée comme « amicale ».
Sous forme d’une « offre amicale » à 4,3 milliards d’euros, Atos veut acquérir Gemalto pour renforcer ses assises dans les solutions de sécurité et d’identification à l’ère numérique.
Le Google Pixel 2 monte en gamme et en prix. Un an après le Pixel, Google renouvelle son offre. Comme précédemment, le Pixel 2 se distingue du Pixel 2 XL par un écran plus petit (5 pouces en 16:9 contre 6 pouces en 18:9). Le premier est fabriqué par HTC, le second par LG. Les
Le groupe IT français Atos va acquérir l’éditeur Siemens Convergence Creators pour étoffer son portefeuille de solutions de communication et de cybersécurité.
Fort d’une alliance avec Dell EMC, Intel, Juniper Networks, Red Hat et VMware, Atos entend aider les opérateurs à virtualiser leurs infrastructures.
Les Xeon Scalable, avec leur Fabric Omni-Path intégrée (sur certains modèles), sont un atout pour les supercalculateurs. Cray et Atos vont les adopter dans leurs offres respectives.
Pour Atos, l’ordinateur quantique est une perspective de moyen terme. Mais le Français propose déjà un système émulant le comportement des qubits, les bits quantiques. Une façon d’aider à la conception des algorithmes de l’ère quantique.
Le Français Atos fait de la technologie ARM son cheval de bataille pour bâtir le supercalculateur exaflopique européen. Et dévoile sa première machine à base de puces Cavium.
Le ministère américain de l’Energie a débloqué une enveloppe de 258 millions de dollars pour 6 entreprises afin de développer le premier supercalculateur exascale.
Après avoir souhaité un bon rétablissement à NKM, il est temps de lire les télégrammes du soir.
Si le top 3 des services IT en Europe est dominé par les Américains, IBM et HPE perdent du terrain. Ce dont profite Accenture. Mais, derrière Atos et Capgemini, c’est l’Indien TCS qui affiche la meilleure dynamique.
Pour les besoins de l’armée, Atos a développé une solution de communication sécurisée, basée sur un smartphone Android customisé, un modem dédié et des bulles de communication privées. Cette solution, Auxylium, est déployée à environ 1000 unités dans le cadre de Sentinelle.
La semaine prochaine, l’action Atos fera partie de l’indice CAC 40. Consécration sur la Bourse de Paris pour la SSII européenne.
Sur recommandation de l’ANSSI, le gouvernement exclut le vote sur Internet pour les Français de l’étranger pour les élections législatives. Le mécontentement gronde.
Atos a bien digéré les rachats successifs qu’il a opérés. Ses résultats 2016 laissent apparaître une nette progression de sa rentabilité.